Trousse littéraire - CERCLE DE LECTURE
Liste des documents
Parfois je suis un renard
Auteur(s) du document : Danielle Daniel
Danielle Daniel. Publication : Toronto, Ontario : Scholastic, [2018], 30 pages non numérotées
Résumé :
Le livre propose une galerie de portraits d’enfants qui portent des masques d’animaux totémiques, comme le loup, le chevreuil, le papillon, l’ours, le castor, etc. De courts textes appuient ces identités génériques en présentant un sentiment général, qui décrit le totem: “Parfois je suis un castor, laborieux et déterminé. Je ne grignote que pour mes besoins et je termine toujours la tâche.” L’ensemble se présente à la manière d’une initiation ludique à la culture autochtone anishinaabée et est appuyé par des peintures tendres et lumineuses. [SDM]
25 exemplaires
Le fleuve
Auteur(s) du document : Claude Ponti
Claude Ponti. Publication : Paris 6e : L’École des loisirs, [2018] 54 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 19 x 32 cm.
Résumé :
Sur le fleuve Ongoh vit plusieurs peuples habitant dans des maisons flottantes. Chez les Oolong, la grand-mère Nour-Danne souhaite se réincarner en mâle, mais comme une petite fille naît à la place, sa famille l’élève comme un garçon en la nommant Louz-Nour. Il en va de même pour le grand-père Dang-Houde du clan Dong-Ding, qui désire renaître dans la peau d’une fillette, mais qui se retrouve dans le corps d’un garçonnet, dont le nom femelle est Rouh-Dang. Chacun apprend les techniques de cueillette enseignées par les leurs et tous deux se rencontrent dans un refuge suspendu. Leur quiétude est cependant troublée par l’arrivée du Kapnadon, un énorme monstre aux allures de crabe, qui exige des LLVÉÊJMPMJFMDADDCRÊORFT, soit des élixirs de longue vie, et qui menace de geler tous les parents Oolong et Dong-Ding. Grâce à leurs connaissances, Louz-Nour et Rouh-Dang peuvent fabriquer cette précieuse potion, mais ce faisant, ils réalisent également une très importante prophétie. [SDM]
Mokatek et l'étoile disparue
Auteur(s) du document : Dave Jenniss
Dave Jenniss ; illustrations de Claudie Côté Bergeron. Publication : Wendake (Québec) : Éditions Hannenorak, [2018]. 35 pages Langue(s) : Comprend du texte en langue wolastoqey.
Résumé :
Mokatek un jeune abénaquis est habitué de se confier à son amie l’étoile du Nord. Une nuit, elle tombe sous ses yeux en disparaissant du ciel. Avec l’aide du corbeau Kahkakuhs, Mokatek va commencer une exploration du territoire de ses ancêtres. Il rencontrera un esturgeon géant protecteur de la rivière, l’ours Muwin, puis le caribou Mokalip sur les bois duquel est tombée la fameuse étoile qu’il pourra dès lors remettre en place. [SDM]
La ronde des saisons atikamekw : [poésie]
Auteur(s) du document : Hélène Chapdelaine
Texte, Hélène Chapdelaine ; illustrations, Christine Sioui Wawanoloath. [Saint-Damien-de-Brandon] : Éditions du Soleil de minuit, 2014. [24] p. Collection : Album illustré
Langue(s) : Comprend des mots en atikamekw.
Résumé :
Recueil de haïkus à saveur amérindienne sur le thème des mois, des saisons et de la nature. Des textes accessibles pour le public visé. Le lecteur est invité à lire ces courts poèmes à voix haute. Des illustrations de synthèse s’inspirant de l’art traditionnel amérindien agrémentent le tout. [SDM]
Awâsis et la délicieuse bannique
Auteur(s) du document : Dallas Hunt
Dallas Hunt ; illustrations d’Amanda Strong ; texte français de Marlène Cavagna. Publication : Toronto (Ontario) : Scholastic, [2020], 21 pages
Résumé :
Kôhkum, la grand-mère d’Awâsis, charge la fillette d’aller porter quelques-unes de ses fameuses banniques chez un proche. Or, en sautillant sur un pont, celle-ci échappe malencontreusement les petits pains dans la rivière. Heureusement, le canard, le lapin, la grenouille et le hibou de la forêt possèdent chacun un ingrédient pour concocter une nouvelle fournée. De retour chez Kôhkum, il manque par contre du tohtôsâpoy (lait) pour compléter la recette, mais un ours qui a assisté à toute la scène pourrait également mettre la patte à la pâte pour que tous puissent partager les délicieuses banniques! [SDM]
Albin retourne au Nunavik
Auteur(s) du document : Julie Rémillard-Bélanger
Texte et illustrations, Julie Rémillard-Bélanger ; traduction en inuktitut, Sarah Beaulne. Saint-Damien-de-Brandon : Éditions du Soleil de minuit, 2011. [24] p. Langue(s) : Texte en français et en inuktitut.
Résumé :
Alasi, une fillette du Nunavik, est enchantée par le retour au pays d’Albin, un superbe harfang des neiges. Ce dernier hante constamment ses pensées, pendant les cours de chant de gorge, les repas ou encore sa toilette quotidienne, jusqu’à ce qu’elle se mette au lit et puisse enfin rêver que, réduite au rang d’un lemming, elle parcoure le pays sur le dos du volatile. Ce qui lui permet d’admirer la toundra, le littoral, le fameux cratère de Pingualuit ou encore la prairie où elle a un jour campé avec sa famille… [SDM]
Quel est mon superpouvoir?
Auteur(s) du document : Aviaq Johnston
Écrit par Aviaq Johnston ; illustré par Tim Mack ; traduction de l’anglais : Maxime Desjardins. Publication : Montréal, Québec : les Éditions Les Malins inc., [2019], 31 pages : illustrations en couleur ; 26 cm.
Résumé :
Nalvana habite avec sa mère dans une petite ville du Nunavut. À l’école, elle découvre que ses camarades ont des talents extraordinaires pour courir vite, pour réaliser des “inukshuks”, pour se balancer haut et fort, pour retenir leur respiration sous l’eau. Puis, la jeune fille qui est toujours vêtue d’une cape et de lunettes de motoneige est à la recherche de son superpouvoir. Sa mère l’écoute tout au long de l’année et quand elle voit que Nalvana est déçue de ne pas se trouver de grand talent, elle lui fait réaliser que son don est de dire des choses aux autres afin de les rendre heureux. [SDM]
Quand on était seuls
Auteur(s) du document : David A. Robertson et Julie Flett
Écrit par David A. Robertson ; illustré par Julie Flett ; Winnipeg: les Éditions des Plaines, [2016], 25 pages : illustrations en couleur ; 26 cm.
Résumé
La jeune Nosisim passe sa journée à jardiner avec sa grand-mère Nokom. Elle va oser lui demander pourquoi elle aime autant porter des couleurs vives. À partir de là, la suite du dialogue va permettre à Nokom d’expliquer à sa petite-fille l’histoire de l’éducation des autochtones dans les pensionnats où leurs droits n’étaient pas les mêmes. Son témoignage, doux et éloquent, permet de laisser entendre à la petite Nosisim que l’enfance des aînés de sa famille a été cruelle.